lundi 21 mars 2011

L'hôtel de ville de Tours

















La semaine dernière, j'ai visité l'hôtel de ville de Tours qui a été construit vers 1900 par l'architecte tourangeau Victor Laloux qui a aussi réalisé la basilique Saint-Martin à Tours, la gare de Tours et la gare d'Orsay (maintenant le musée d'Orsay).
Sur la façade de l'hôtel de ville, il y a quatre atlantes qui représentent les âges de la vie et d'autres sculptures qui représentent la Loire et le Cher.
Au rez-de-chaussée, il y a un lieu d'exposition. L'escalier porte les noms des personnes qui ont été tuées pendant la Première Guerre mondiale. Ensuite, au premier étage se trouvent la salle du conseil, la salle des fêtes (ou pour voter) et la salle des mariages. Dans chaque salle, il y a beaucoup de peintures et sculptures liées à l'histoire de la Touraine.
Après cela, nous sommes allés dans un nouveau bâtiment qui a les bureaux de l'administration.
Enfin, j'étais très content que nous l'ayons visité. J'ai eu une bonne journée.
Merci CLE.
Aquib Bakhsh

jeudi 17 mars 2011

Encore un virelangue !

Amusez-vous à répéter ce virelangue ou casse-langue ou fourche-langue (tongue-twister) ! "Je veux et j'exige d'exquises excuses !"

Virelangue ou tongue-twister

Voici encore un autre virelangue : "Sans souci six sangsues suçant au sang six cents sots."

Virelangue : les chaussettes ...

Entraînez-vous à prononcer cet autre virelangue bien connu : "Les chaussettes de l'archi-duchesse sont-elles sèches ou archi-sèches ?".

jeudi 10 mars 2011

Virelangue : un chasseur ...

Entraînez-vous à prononcer ce virelangue bien connu : "Un chasseur sachant chasser doit savoir chasser sans son chien !"

mercredi 2 mars 2011

Interview de Joris Drylewicz de la galerie "OZ ART"


"L’art est ma passion"

Quand je sors de l’école CLÉ, je passe dans la ruelle qui s’appelle la rue des Bons enfants dans laquelle se trouve une petite galerie d’art. Comme mon professeur m’avait dit que le galeriste était encore très jeune, cela a attisé ma curiosité et j’ai donc fait une recherche en ligne. J’ai découvert qu’il avait été bercé dans un milieu culturel et artistique depuis son enfance. Quand il était jeune, ses parents l'emmenaient dans toute sorte d'exposition. Après ma recherche, j’ai préparé des questions. Ensuite, je suis allée dans la galerie et j’ai simplement demandé au galeriste si je pouvais l’interviewer et il a dit qu’il était d’accord.

Par Magdalena Oberli

Quand est-ce que la galerie a été fondée?
Il y a 6 mois que j’ai repris la galerie.

Quelle est votre formation?
J’ai fait des études d’histoire de l’art et du marché de l’art à Paris. C’est là où j’ai fait beaucoup de stages, que "je me suis fait les dents". En fait, j’ai aidé mon frère à ouvrir une galerie à Paris qui s’appelle "Galerie Drylewicz". Cette galerie est spécialisée dans l’art du XIX e siècle.

Quel était votre motivation au départ?
Je suis originaire de Tours. J’ai décidé de reprendre cette galerie pour dynamiser la culture à Tours car je pense qu’il y a véritablement un public intéressé.

Est-ce que Paris vous manque?
Bien sûr la vie parisienne me manque beaucoup, mais ce n’est pas comparable à Tours. À Paris, le rythme de vie est très différent.

Quel est votre vision pour l’avenir?
Je vais voir ce qui se passe. J’ai beaucoup d’idées. Par exemple j’aimerais faire un festival d’art contemporain. Une autre idée, c’est d’organiser une biennale à Tours. Mais je sais que c’est très ambitieux.

Est-ce que vous êtes en contact avec d’autres jeunes galeries d’art de la région ou à l’étranger?
Quand j’ai vécu à Paris, cela m’a permis de faire la connaissance de beaucoup de gens qui travaillent dans l’art. Je connais des galeries en Belgique, en Allemagne, en Angleterre et bien sûr en France. Je peux imaginer, à l’avenir, des échanges intéressants entre artistes d’autres galeries à l’étranger.

Pouvez-vous vivre de l'art?
C’est difficle. Pour le moment, cette galerie-là n’est pas encore très rentable. C’est la galerie à Paris qui me rapporte de l'argent. Je fais d’abord ce travail par passion.